lundi 29 octobre 2012

Sandy (ou l'art de trouver un titre accrocheur)


Cache ta trash, crache ton cash, crache ta trash, CACHE TON CASH!!

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Le but de l’exercice est d’écrire un minimum d’une page par jour. Donc, j’aime mieux vous prévenir, parfois, j’ai vraiment l’impression de vomir de la marde. Ciel, je suis vulgaire.

Le but d’écrire un minimum d’une page par jour? Me faire affronter la page blanche. Le but de publier sur internet? Aucun.

Avant, j’attendais toujours d’avoir le texte parfait avant de le publier. J’en suis donc venue à un point où plus rien ne me convenait. Je ne trouvais plus rien assez bon. Puis bon, vint le jour où j’ai réalisé que je faisais seulement me plaindre sur ma vie amoureuse plus que pathétique. Je me suis perdue dans la peine. Je me tombais sur les nerfs.

Je suis bien plus qu’une peine d’amour (j’en suis plusieurs hehe!).

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Je me suis perdue dans la peine pour me retrouver dans la joie, un peu mêlée. J’étais tellement habituée de voir tout noir que lorsque le rose est revenu, je ne savais pas comment l’assumer.

Bon, ce n’est pas rose tous les jours, j’en conviens. Mais quand même, vaut mieux osciller entre le rose et le mauve que de tomber dans le noir et parfois avoir le bonheur d’un dégradé de gris. Ou encore pire, nager dans un océan beige sous un ciel brun.

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Beige comme une femme de pasteur qui porte des cols roulés et qui fait des tartes fades.

Brun comme mon ex.

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Ne jamais faire confiance à un ouragan qui porte le nom d’une strip-teaseuse #sandy

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Je n’aime pas particulièrement les ouragans. En fait, les conditions météorologiques extrêmes me foutent la chienne, mais complètement. Remarquez, je n’ai aucun problème avec la pluie, mais ça c’est une autre histoire.

Mettons que je ne trippe pas sur le vent. Mettons.

La dernière fois qu’on s’est fait frappé par la queue d’un ouragan, j’ai manqué d’électricité pendant trois jours. Trois jours!! Trois jours sans café le matin, sans fer plat, à me maquiller à la chandelle et à manger des viarges de sandwichs au thon. Puis je vous épargne le chapitre sur me laver à la débarbouillette, à l’eau fucking froide toujours à la fucking chandelle.

Puis bon, j’habite Montcalm et dans Montcalm, il y a des arbres. Des gros arbres. Le genre d’arbres que tu veux pas qui cassent et qui tombent sur ta maison. Comme celui devant chez moi, me semble qu’il traverserait bien la fenêtre de mon salon. Finalement, je n’ai peut-être pas peur du vent, j’ai peut-être peur des arbres. Qui sait…

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Présentement, je trouve le timing du renouvèlement de mon assurance habitation plus que parfait!

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